La vague, épreuve reine du windsurf.

En presqu’île de Crozon, était auparavant organisée, entre les fêtes de fin d’année, une compétition de vagues réunissant amateurs et professionnels sur les spots de la Palue, de Goulien ou de l’Aber: l’Hibiscus Party coorganisée avec Thierry BELBEOC’H du magasin Hibiscus.

Le but de ces épreuves est de réaliser un maximum de manœuvres dans le temps imparti. Les coureurs s’affrontent par poule, souvent de 4. En fonction des conditions, le directeur de course décide du nombre de sauts et surfs comptabilisés, de leurs coefficients ainsi que de la durée des heats. Ils sont notés par au minimum 3 juges, qui notent tout ce qu’ils voient de manière non concertée. La note finale est la moyenne des notes des juges. Les manœuvres sont évaluées en fonction de la difficulté, de l’amplitude, du choix de la vague et de la propreté d’exécution.  

Lors d’un tableau en simple élimination, tout le monde commence au premier tour et les deux meilleurs de chaque heat accèdent au tour suivant jusqu’à la finale.

Si l’organisation à plus de temps, elle a la possibilité de lancer un tableau à double élimination. Un conçurent classé 3 ou 4 au premier tour aura une seconde chance de continuer en navigant contre d’autres participants ayant eu le même classement. Le premier de la série de rattrapage accèdera à la poule suivante. Il aura donc la possibilité d’aller jusqu’en finale, même en ayant été éliminé dans les qualifications. Ce tableau est beaucoup plus long que celui en élimination simple mais permet à tous de se confronter à des riders de son niveau. Celui qui fini 4 au premier tour est peut être tombé dans une poule “difficile”, lors des repêchages, il participera avec des riders ayant un niveau plus semblable au sien.

En presqu’île de Crozon, était auparavant organisée, entre les fêtes de fin d’année, une compétition de vagues réunissant amateurs et professionnels sur les spots de la Palue, de Goulien ou de l’Aber: l’Hibiscus Party coorganisée avec Thierry BELBEOC’H du magasin Hibiscus.

Peut-être aurons nous la chance de revoir cette épreuve sur nos côtes un jour.